À la ligne – Feuillets d’usine – Lecture de Joseph Ponthus (31)

Toujours intérimaire, Joseph Ponthus. Plus que jamais occupé à vendre sa force de travail. Fini les lignes de bulots, de crevettes, de langoustines. Fini le tofu. Terminées les missions en conserverie. Ponthus change de costume. Le voici parmi les forçats de l’abattoir. C’est dans ce lieu cauchemardesque que se poursuit ma lecture à voix haute – entamée le 1er mars – de son roman À la ligne – Feuillets d’usine. Après les 30 premiers chapitres qui composent la première partie du livre, voici le 31ème, qui ouvre la seconde. Il est précédé de cette citation de Guillaume Apollinaire (lettre à Madeleine Pagès, 15 mars 1916) :  » Pas de description possible. C’est inimaginable. Mais il fait beau. Je pense à toi. « 

 

Chaque jour, une chanson de Charles Trenet, dont Joseph Ponthus était fan.

Les chiens loups– Charles Trenet

(À demain, 7h30…)

livreJosephPonthus

À la ligne – Feuillets d’usine est publié aux Éditions de la Table Ronde et chez Folio

Photographie du haut : Abattoirs de la Villette Carcasses de moutons 1922 – Source @ROL

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